LA
MALADIE A-T-ELLE UN SENS ?
« La
maladie contient l’or que tu ne trouves nulle part ailleurs. » Propos de
Carl Gustav JUNG qui, à première vue, parait curieux. Y aurait-il un sens aux
maladies ?
En
1975, Marie Cardinal écrit un roman autobiographique où elle parle de sa
maladie qu’elle nomme « la chose ». La maladie est provoquée par un
choc inscrit dans le corps à un moment précis entre l’extérieur (brimades,
trahison, harcèlement, violences…) et l’intérieur (utérus, sein, sang, moelle
épinière, pancréas, cœur, larynx…). « Les mots pour le dire »
décrit comment les mots peuvent créer
des maux et des maladies mais aussi comment ils peuvent guérir et libérer des
maux.
Thierry
JANSSEN dans son ouvrage « Enquête au-delà des croyances, la maladie
a-t-elle un sens ? » paru en 2008 s’interroge « Tombons nous
malades comme par fatalité, ou bien la maladie est-elle le moyen pour notre
corps de trouver, face à des situations perturbantes, un nouvel
équilibre ?
Christian FLÈCHE, psycho-bio-thérapeute, conférencier international, auteur de
« Décodage biologique des maladies, l’encyclopédie des correspondances
symptômes-émotions » et de « les protocoles de retour à la
santé » affirme qu’il y a »un changement de paradigme que l’on
pourrait formuler en faisant écho à la pensée de Carl Gustav JUNG .Nous ne
sommes pas là pour guérir de nos maladies, mains nos maladies sont là pour nous
guérir. Attention, il faut distinguer maladie et intention positive. Ex :
Vomir est un symptôme désagréable dont l’intention positive est de nous
débarrasser d’un toxique alimentaire occasionnée par une huitre pourrie.
Nos
maladies sont là pour nous guérir .Mains nous guérir de quoi ?
De
quelque chose qui s’est caché dans l’invisible, dans l’inconscient, pour ne
plus nous faire souffrir .D’un choc bien précis tombé dans l’oubli. »
Ce
choc prend le nom de BIO-CHOC. Il est à l’origine du dérèglement et de la
maladie. Il surgit à un moment précis dans un contexte particulier .Il apparait
lors d’un événement perçu comme
-
Conflictuel et
imprévu
-
Dramatique (sans
solution satisfaisante)
-
Vécu seul (on ne
peut partager ce que l’on sent en soi, on n’a pas les mots pour traduire cela,
pour exprimer ce qui s’imprime)
-
L’accompagnement en thérapie est nécessaire pour remonter au choc initial
et au ressenti à l’origine de la maladie. Il contribue au moins à 50 pour cent
de la guérison. La démarche se coordonne avec le suivi médical. »
Jean Paul PARENT. Hypnothérapeute, Consultant Sante
et Ressources humaines, Coach.
Blog kairos
developpement trans-formations.blogspot.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire